M.JAY STORIES

...J'aime la vie. J'ai toujours voulu en profiter, j'ai toujours voulu le meilleur pour ceux que j'aimais. J'ai eu une enfance difficile mais dieu sait combien j'ai pu évolué malgré toutes les difficultés qui m'ont bercé depuis tout petit. Je suis né dans le petit village de Combourg, en Bretagne et j'y est vécu toute ma vie...Je suis toujours resté fidèle a ma Bretagne. J'aime ce pays et suis fier de pouvoir me dire Breton. Mais la vie est pleine de surprises, bonnes ou mauvaises. Une mauvaise nouvelle cependant arriva: La guerre nous a tous surpris ici, et, par mon jeune âge, je vais devoir intégrer l'armée pour nous défendre des envahisseurs. J'aimerai tant ne pas avoir à me battre... Tuer est sans doute atroce, donner la mort de ses propres mains va surement être une épreuve très dur pour moi...De plus, la vue du sang me répugne et me fait tourné de l'œil... J'essaye de ne pas y pensé pour le moment, je ne part que dans une semaine. J'espère que je rentrerai vite pour m'occupé de ma femme, prendre enfin soin d'elle. Cela ne fait que moins d'un an et demi que l'on a été uni par les liens sacrés du mariage. Je l'aime tant. Elle m'apporte le bonheur qu'un homme reverrai tant d'avoir, l'amour et la compassion. J'aimerai tellement avoir un enfant d'elle. Elle est si douce, si belle, j'aimerai lui donner ce cadeau. Mais la souffrance est dur pour nous deux puisqu'elle ne peut enfanté... Mais la vie nous fera peut être ce cadeau du ciel. Il y a déjà eu des miracles, peut être qu'on sera des heureuses victimes. Je dois être le plus optimiste des hommes, ou le plus fou...

Une jeune femme pleurait, posant le petit reste d'un bout de papier brulé. Elle était seule dans les décombres d'une petite maison de campagne. Non loin de là, des coups de feu et d'artillerie retentissait. La jeune femme murmura un « je t'aime » puis mis le papier dans sa poche tout en séchant les larmes amères qui coulait le long de son visage. Elle sortit précipitamment et couru rejoindre une maison une centaine de mètres plus loin, celle-ci intacte. De façon étrange, elle ne se dirigea pas vers la porte d'entrée mais pris une trappe qui la conduisit dans un profond sous sol. Elle entra dans une pièce sombre ou des dizaines de gens parlait et buvait. Un femme lui demanda s'il faisait beau et, n'ayant pas eu le temps de répondre un homme de grande taille, imposant, la réprimanda, et lui rappela qu'elle ne devait pas sortir dans son état et par l'interdiction de son mari. N'étant pas sorti depuis des mois elle ne répondit pas et s'en alla plus loin s'asseyant sur un reste de canapé, les larmes coulant, visiblement touché par cette lecture. Des coups de tonnerre semblait retentir non loin de là, bruits étouffés par la profondeur.

Mon amour,
Je vais enfin rentré... Je n'ai pas eu de nouvelles de toi à cause des derniers mouvements de troupes. Le courrier a du mal a circulé. Mais la guerre est fini bientôt c'est certain. J'ai été blessé à la jambe droite donc je ne suis plus apte au combat. C'est vraiment horrible tout ce qui se passe... Je te raconterai sa en rentrant. Je pense arrivé le lendemain ou le surlendemain du jour ou tu liras ce courrier!Je suis impatient! Cela ne fait que près d'un an que je suis parti mais j'ai l'impression que ça fait des années...Je ne peux plus t'écrire mais je rentre bientôt! Je suis heureux!

Ton dévoué! Je t'aime

Il faisait nuit noir et l'obscurité laissa place a quelques phares se déplaçant vers une maison en ruine. La voiture s'arrêta et un homme sortit. Il s'approcha de la maison en ruine et son visage brillait sous les lumières de la voiture garé non loin. L'homme pleurait doucement et difficilement rejoignis la voiture. Il s'arrêta a nouveau lorsqu'il vit devant la voiture une enveloppe largement éclairé par les phares rayonnant. Il pris l'enveloppe et vit qu'elle n'était pas ouverte. A sa grande surprise il vit que c'était son courrier envoyé quelques jours plus tôt. Il retourna a sa voiture et le chauffeur démarra. Il s'arretere non loin de là et il entra dans une sorte de caveau sous une maison partiellement détruite. Lorsqu'il ouvrit, il ne vit personne. Il entendit un petit bruit de pleurs dans une salle proche. Febrillement il s'avança vers la petite porte entrouverte. Il vit des dizaines de morts et il ne pu que poussé un cri. Le son venait de la salle suivante. Il se bouchait le nez, ne voulant pas respiré ses souvenirs passé. A l'ouverture de la porte de la salle adjacente, dans une forte obscurité, il réussi a apercevoir qu'il y avait une personne couché, et il s'avança doucement Il n'eut pas le temps d'avancé beaucoup plus alors que l'individu se leva brusquement, pétrifié et se mit a crié et a frappé l'homme. Le jeune homme repoussa vivement la personne probablement aliénée par la boucherie de la salle voisine. L'inconnu tomba et percuta un lit. La nuque de l'inconnu se brisa sous le choc. Étant dans une pénombre complète, le seul bruit lui provoqua un sentiment de peur intense et s'enfuya vers la voiture de son chauffeur. Il pleurai de tout son long. Au petit matin, il décida de redescendre dans le caveau aménagé...alors qu'il descendait dans la salle principale il entendit a nouveau des pleurs... Effrayé il ramassa un bout de bois des décombres et avança dans la seconde salle puis se bouchant a nouveau le nez il poussa la porte de la salle voisine. La il vit un corps inerte allongé sur le ventre puis sur le coté, il remarqua un petit landau d'où les pleurs venaient. Il remarqua la présence d'un petit bébé et se mit a pleurer. Dans son cauchemar, il tourna le corps de l'inconnu et vit sa femme, frappé aux visages, bléssé, la nuque cassée...Il remarqua un petit bout de papier écrit par lui même avant son départ, dans la main de sa femme. Il le lut et senti son cœur battre plus fort encore... Comment avait-il pu... Pourquoi cela devait être comme sa... Il vit le landau et regarda le bébé. Il lui ressemblait déjà... Un papier avec des mots était apposé sur le landau où l'on lisait des mots disant « le miracle existe encore », « le bébé de l'espoir et de l'amour » ou encore « l'amour est au dessus de tout les maux ». Il prit le bébé dans ses bras et pleura en le voyant... Vivant, plein de peine, voué a une vie de souffrance et de désespoir dan ce monde de fou... Il se jura de l'aimé, de prendre soin de lui... Il regarda sa femme et se frappa la tête sur le mur en poussant un cri de douleur. Il s'en voudrait pour toujours... Comment vivre avec ce poids qui le tuait déjà... Il faudrait peut être rejoindre sa mère dans l'au delà pour apaiser ses souffrances...Dans la main de la femme on voyait un papier ou était écrit:

...J'aime la vie. J'ai toujours voulu en profiter, j'ai toujours voulu le meilleur pour ceux que j'aimais. J'ai eu une enfance difficile mais dieu sait combien j'ai pu évolué malgré toutes les difficultés qui m'ont bercé depuis tout petit. Je suis né dans le petit village de Combourg, en Bretagne et j'y est vécu toute ma vie...Je suis toujours resté fidèle a ma Bretagne. J'aime ce pays et suis fier de pouvoir me dire Breton. Mais la vie est pleine de surprises, bonnes ou mauvaises.




Mjay Stories

Sur cette version j'ai fait quelques petits changements comme vous pouvez le lire^^elle est plus compréhensible:) je l'ai édité!

Sympa à lire mais j'en suis à la moitié, je finirais ça demain, là je suis mort.
Par contre je veux pas faire le relou mais attention à l'orthographe l'ami^^

Citation :

Je te raconterai sa en rentrant

ouai merci^^c'est un brouillon a retravaillé donc merci:)

L'homme avancait peniblement sur la pente douce et argileuse..il sentait ses muscles lui brulé tout le corps..des larmes de douleur sortait de ses yeux...Ses bars était presque endolori.il passa un talus et sentit l'odeur de brulé lui envahir les narines..Ne sachant que faire il tenta en vain d'appelé!Il entendait un brouhaha confus et percevait faiblement des lueurs lumineuses au loin.Après plusieurs minutes de combats contre son corps il parvint a destination..Un homme s'apprcha et de ses mains lui rendit l'ouie!un autre se pencha et lui rendit la vue!Il entendait des rires, de la joie, de la bonne humeur!Enfin! Un homme le prit dans ses bras et le porta sur une chaise!!

"alors francky t'es arrivé en retard pour les merguez les tiennes ont cramé!!ramasse tes jambes l'estropié!haha"

"les mecs ont lui remet des boulecaisses et un bandana et ont le relache en pleine foret cette fois?"

Pas mal! ^^

j'ai craqué!lol! c'est pas mon domaine en général^^